27-28/08 Mission de surveillance
Mon voyage a commencé à Eymoutiers, avec une exposition de sculpture de carpes koï à l'office de tourisme.
Avant mon départ, un gros serpent a essayé de manger mon avion

Depuis ma place dans l'avion je peux surveiller l'aile droite et m'assurer qu'il ne lui arrive rien. J'espère que qulqu'un fait la même chose avec l'aile gauche. Ça serait dommage qu'on en perde une. On décolle. Voir l'oimbre de l'avion projetée au sol, des centaines de mètres plus bas. Voir se découvrir les étendues pavillonnaires, les infrastructures, les champs bien rangés. On a beaucoup peint le ciel vu de la terre, mais beaucoup moins la terre vue du ciel.
Ma mission de surveillance se complique je sais pas si l'aile droite est de mèche avec léquipage mais on nous demande de fermer les stores peu de temps après le décollage. Je sais pas que l'aile a fait pendant ce temps, mais quand les stores peuvent être rouverts, il est 5h30 et l'aile est toujours là (ou revenue), ça nous permet de reste au-dessus de la mer de nuages. On atterrit en Chine, à Shanghai.
Pour le vol suivant, je suis assis plus ou moins à la même place du coup j'imagine que ma tâche de surveillance ailière sr poursuit. Là c'est plus facile on nous laisse le droit d'avoir les stores ouverts.


Mon avion finit par arriver, et une fois l'immigration passée, première mini-galère : impossible d'acheter un forfait e-sim (qui aurait dû me permettre de ne pas payer 14€ par MÉGAoctet de données transférées) : le site de validation de ma carte bancaire est bloqué en Chine et au Japon. Merci bonsoir. Je repère l'itinéraire sur un plan et me lance dans les 90 min de transport pour aller rejoindre Thomas.
Pour cela, il faut prendre un train et deux métros, opérés par trois compagnies différentes, donc avoir trois tickets. Une fois arrivé, retrouvailles, et dodo. La suite au prochain épisode.



